Jeux de Chasse | Thomas Ier

Pour l’instant, le roi lui avait surtout fait emprunter des porte dérobés et des couloirs qui n’étaient empruntés que par les serviteurs et valets, où alors, des passages secrets à son seul usage à lui et à ceux autorisés. Sinon, les portes de Versailles n’étaient pas semblables, elles étaient toutes sublimes, rehaussé avec de la peinture d’or… mais les portes dérobés étaient des petites portes cachés dans le mur, qui permettaient de se déplacer discrètement. Tout à l’heure, avant qu’il ne la fasse passer par un passage discret, ils étaient dans son appartement à lui, l’appartement royal, ils avaient prit un petit escalier et étaient monté dans le sien. Il haussa donc un sourcil amusé à sa question.

-Il y a la grande porte, que nous n’avons pas emprunté, et la seule autre issue est celle qui descend dans mes appartements, mais vous n’aurez pas à l’emprunter, à part si je vous le demande.

Bah oui… on n’entrait pas dans ses appartements sans y être invité, où alors il fallait être un de ses amis de longue date où un membre de sa famille. Et encore, ceux-ci utilisaient plutôt la grande porte. Il se rapprocha un peu d’elle, alors qu’elle était dos à lui, et qu’elle observait autour d’elle. Tom releva la chevelure brune d’April, et lui embrassa la nuque, laissant sa main se poser sur son épaule. D’un mouvement assez lent, il fit glisser sa main contre la peau de la jeune femme, faisant glisser la bretelle de sa robe contre son bras. Ses baisés suivirent le même mouvement, allant au creux de son épaule. Il posa sa main libre sur la taille de la jeune femme, et la fit se retourner pour quelle lui fasse face. Le roi plongea son regard bleu dans celui d’April. C’était un regard fiévreux, où on pouvait lire qu’il était conquis par elle, et qu’il appréciait d’être là avec elle.

Tom s’avança vers elle d’un pas, la plaquant précautionneusement contre lui et l’embrassa avec une certaine fougue et un peu d’animosité, ne cessant de laisser courir ses mains sur la peau découverte de la jeune femme.

-April, April… vous êtes si douce, si belle.

Ah oui… Versailles, c’était très grand en effet… mais on s’y habituait vite… elle aimait bien qu’il lui dise des choses comme ça ? Apparemment oui, puisqu’elle prolongeait son baisé jusqu’à qu’il redescende le long de sa nuque. Il fit quelques pas en avant, la faisant reculer vers le lit, jusqu’à ce qu’elle soit complètement au bord, puis il l’allongea, la regardant en souriant, avant d’enlever sa chemise, pour se retrouver torse nus devant elle.

Tom s’allongea ensuite sur elle, embrassant la naissance de ses seins qu’un léger décolleté laissait imaginer. Il passa une main derrière le dos de la jeune femme et entreprit de lui dégrafer la robe. Ce ne fut pas trop dur, vu qu’il en avait l’habitude, et en deux t’en trois mouvements, elle fut libéré de l’étroitesse de sa robe. Il délaça son corsage toujours de la même main, tandis que l’autre remontait doucement le long de ses belles jambes, tandis qu’il continuait à l’embrasser avidement.

Au bout de quelques minutes, il fit descendre le haut de la robe, laissant sa poitrine à sa seule vue. Il sourit d’un air satisfait et admiratif. Elle était vraiment parfaite cette jeune femme. Douce fragile, consentante et complètement sous son charme. Il sortit sa main du dos d’April et se mit à caresser ses formes avec une douceur extrême, comme si il était entrain de toucher de la porcelaine. Il soupira un peu avant de repenser un peu à ce qu’elle avait dit sur la taille des appartements, du château. Il avait envie de rire un peu.

-Vous allez voir April, votre nouveau lit n’est pas aussi grand que le château, mais on peut également y faire des choses formidables. J’espère que vous ne vous y perdrez pas, je serais sinon obligé de venir vous y chercher… Enfin, cela ne me dérangerais pas vraiment, comme vous pouvez vous en douter.

En effet, on pouvait clairement voir au travers son pantalon qu’il était un peu à l’étroit… La jeune femme lui faisait beaucoup d’effet, et il n’avait aucune intention de le lui cacher trop longtemps.

Tom aimait bien voir les femmes se tortiller sous lui, et c’était très agréable de constater qu’April ne faisait pas exception à la règle, elle était si belle quant elle basculait sa tête vers l’arrière. Ça le fit sourire, et il commença à détacher son pantalon, alors que leurs visages étaient toujours plus proches l’un de l’autre. Il ressentit un léger picotement dans le bas de son ventre quant la jeune femme se mit à lui mordiller l’oreille. Tom adorait ça, et ça lui faisait un effet considérable. Il sentait son membre se dilater encore plus, se sentant de plus en plus serré dans son pantalon.

-Je volerais à ton secours n’importe où.

D’un geste rapide, il ôta son pantalon et se mit à retrousser les jupes de la jeune fille, son regard pali révélant tout le désir qu’il éprouvait pour elle. Il lui écarta les cuisses et se plaça au milieu, sans entrer en elle pour autant. Il frottait son pénis sur le bas ventre de sa partenaire, titillant son clitoris au passage. Il se demandait si elle était encore pure où pas… Après tout, elle faisait partie de la noblesse et elle ne lui avait pas révélé être marié…

N’en pouvant plus d’attendre, il lui écarta les cuisses un peu plus et la pénétra avec force, mais sans la brutaliser non plus. Il y allait doucement dans ses vas et viens, il attendrait un peu pour aller plus loin en elle. Il l’embrassa avec passion, passant une main dans les longs cheveux d’April tandis que l’autre le maintenait sur élevé pour ne pas l’écraser sous son poids.

Thomas continuait ses coups de bassins, gardant les yeux obstinément ouverts sur la jeune femme qui se trouvait sous lui. Petit à petit, il entrait plus profondément en elle, lâchant un râle de plaisir. Ses doigts couraient sur la peau blanche d’April, serrant en cadence son mamelon droit qui pointait entre ses doigts. Il se courba un peu sur elle pour lui mordiller le même sein, veillant à n’éveiller en elle que du désir et pas de douleur. On voyait bien au travers ses gestes qu’il avait l’habitude de les pratiquer, et même si sa jeune partenaire était une débutante, cela ne se ressentait pas, car elle faisait preuve d’une hardiesse que certaines femmes n’avaient pas.

Le roi se cambra un peu en sentant les ongles de sa partenaire entrer dans sa chaire. Loin de le bloquer, cet exercice l’incitait à aller toujours plus profond en elle. Il sentait son membre qui grossissait encore en elle, il mit fin à leur baisé pour lui répondre. Oui, il irait à son secours partout où elle aurait besoin de lui, dans sa baignoire, dans son lit, dans une ruelle sombre, si chaque sauvetage finissait dans une apothéose semblable, il la suivrait partout.

-Oui April, je volerais à votre secours partout où vous aurez besoin de moi.

Tom passa une main sous le dos de la jeune femme, la tirant ainsi plus prés du rebord du lit, sans cesser ses assauts pour autant. Ses mains vinrent finalement se poser de part et d’autres du bassin de la marquise, accompagnant ses mouvements pour les intensifier d’avantage. Toma était déjà parcouru par des vagues de plaisir, mais il prolongerait ses coups de reins jusqu’à ce qu’il sente que sa partenaire ressentait la même chose. Il aimait bien combler les femmes avec qui il couchait, après tout, autant que les deux côtés soient satisfaits. Il ne comprenait pas que certains hommes se contentent de leur propre plaisir, laissant leur compagne sur leur fin.

- Aimez-vous April ?

Elle était peut être débutante, mais le roi sentait qu’il n’aurait pas assez d’une nuit pour se fatiguer de sa nouvelle conquête. Si elle savait s’y prendre, elle pourrait sans peine prendre la place de favorite à la cour. Rôle qui n’était pas encore occupé étant donné que toutes les femmes qui étaient passé par son lit jusqu’à présent n’y avaient brillé qu’une seule nuit.

Elle gémissait, finalement elle aimait ça… moi aussi, c’était parfais, idyllique. Elle s’y prenait très bien pour une débutante. Ses gémissements me donnaient encore plus d’ardeur, et quant elle me fit comprendre qu’elle se laisserait bien tenter pour une partie de cache cache géante… Cette idée me plaisait bien, surtout si toutes ces aventures se terminaient comme celle là. Je sentais de plus en plus de plaisir monter en moi et je ne tarderais pas à me lâcher en elle. Quant elle enfonça ses ongles dans la chair de mes fesses, j’eu un soubresaut de surprise, mais ce n’était pas trop désagréable. Finalement, j’éjaculais en gémissant une dernière fois et m’allongeai sur elle en embrassant ses lèvres offertes. Finalement, je me laissais rouler sur le côté en reprenant peu à peu le contrôle de ma respiration.

Je soupirais un instant, j’étais pleinement satisfait de ma dernière trouvaille. Heureusement que j’avais sauvé cette demoiselle, je m’en serais voulu de rater cette partie de jambe en l’air, mais maintenant qu’elle était fini, je me redressais et rassemblais mes affaires avant de me rhabiller. Je lui souriais avant de disparaitre par le passage que nous avions emprunté. Je montais dans mes appartements puis me mis à fouiller dans un tiroir. J’en tirais un petit coffret que je prenais dans ma main avant de retourner dans les appartements d’April. Je posais le coffret sur son lit en souriant. J’effleurais sa joue en souriant.

-Voila un petit présent pour vous April. Demain matin, je ferais venir un tailleur et il renouvellera votre garde robe. Je vous emmènerais vous promener dans les jardins.

Dans le coffret se trouvait une rivière de diamant qu’un roi quelconque m’avait offert lors de mon couronnement… Comme je n’étais pas marié, je n’avais personne à qui l’offrir, mais comme j’espérais que ma relation avec April ne se terminerais pas là… contrairement à mes autres maîtresses qui ne faisaient qu’un court séjour dans mon lit… autant lui offrir pour qu’elle soit sublime quant nous nous promènerions, je ne voulais pas que les commérages circules, comme quoi le roi s’était entiché d’une noble sans le sou. Si elle savait entretenir le plaisir que j’avais à être avec elle, elle deviendrait une pièce maîtresse de ma vie. Une favorite.

Elle avait les yeux qui brillaient, mais trouvait que c’était trop ? Moi je ne trouvait pas… c’était une babiole… des comme ça j’en avais plein… mais bon, je pouvais comprendre que pour elle ce soit énorme… je lui fis un petit sourire en coin avant de lui caresser la joue.

-Laissez moi juger de ce dont vous méritez. Moi je trouve que vous méritez toutes les attentions April.

Je sortais le collier de l’écrin de velours noir et lui passais autour du cou en souriant. Je soulevais ses cheveux et attachais le lourd collier avant de la tirer délicatement vers un miroir où elle pourrait se contempler.

-Vous êtes sublimes, et je ne pouvais rêver plus belle personne pour les porter.

Elle s’habituerait au fait d’être dorlotée et envié par les autres femmes. Elle avait su tirer son épingle du jeu au moment où j’avais besoin d’attention, et si elle menait bien sa barque, elle pourrait aller haut, même si elle était de trop basse naissance pour devenir reine, elle pouvait trouver une place durable dans mon cœur, ce qui ne serait pas trop difficile, étant donné qu’à part ma mère et ma tante, aucune femmes n’y occupaient de places enviables… Je pensais soudain à Cassandra… le jour où près d’une rivière, je l’avais embrassé… Elle me manquait, je n’avais plus de nouvelles… elle était une femme exceptionnelle, et j’aimais beaucoup sa compagnie, où je n’avais pas l’impression d’être un roi, car elle comprenait ma situation mieux que quiconque… étant donnée qu’elle avait la même à peut de choses près.

-Nous pourrons aller nous promener dès qu’un tailleur sera passé vous voir pour vous faire quelques tenues dignes de vous.