En Haut d'une tour... [Dean]

Dean avait en effet prit son travail de bras droit très à cœur, quitte à délaisser un peu sa famille après le mariage. Ruuqo passait beaucoup de temps dans son bureau, et il fallait bien que quelqu’un canalise les humeurs des troupes. Enfin, bref, il avait un moment de libre maintenant… et il cherchait sa petite femme. Un garde lui avait apprit qu’elle était allé sur une tour, il grimpa donc les escaliers trois par trois, et arriva alors que sa douce chantait une chanson triste… Pourquoi une telle mélancolie ? Il écouta en silence, puis, quant elle eu fini, il toussota pour qu’elle remarque sa présence. Il lui sourit tendrement, puis demanda.

-Si c’est de moi que tu parle, sache que tu n’as pas besoin de faire tout ça…

Il se rapprocha d’elle, pour enserrer sa taille, alors qu’elle était encore de dos, assise sur le rebord de la muraille. Il posa son menton au creux du cou d’Eila. Se sentait-elle seule ? la pauvre, il regrettait d’avoir passé tout ce temps loin d’elle.

-Moi je ne veux pas que tu te mette en danger, ou que tu te sacrifie, je veux passer toutes mes nuits avec toi moi, pas juste une, où alors… il faudrait qu’elle dure toute la vie.

Il lui embrassa la nuque amoureusement avant de regarder un peu le paysage par-dessus l’épaule de sa femme.

-Tu n’es pas heureuse ma chérie ?

Dean avait peur qu’elle ne soit pas heureuse avec lui, qu’elle regrette sa liberté perdu, quoique il n’avait pas l’impression de lui avoir enlevé sa liberté. Il souffla un peu sur sa nuque, avant de regarder son profile. Elle était tellement belle, il ne voulait pas la voir triste, elle ne le méritait pas, une telle jeune femme devait être heureuse et comblé tout le temps.

Dean respirait un peu mieux. Elle était heureuse. Il avait eu peur un instant qu’elle ne le soit pas. Elle l’aimait, il en était sur, et il pouvait le lire dans ses yeux, mais elle avait l’air si mélancolique sur son rebord de muraille. Dean la regardait amoureusement dans les yeux quant il haussa un sourcil. Eila en voulait à Ruuqo de lui piquer son mari ? Cela le fit sourire, en même temps, c’était trop mignon pour y résister. Dean posa ses lèvres sur celles de son épouse et l’embrassa avec fougue en la tenant bien contre lui pour ne pas qu’elle risque de tomber. Il se recula un peu pour la regarder avec un certain amour dans le regard.

-Serais-tu jalouse de mon bureau ?

Il haussa un sourcil, la tirant vers lui pour la remettre sur la terre ferme et qu’elle n’ait plus les pieds dans le vide. Maintenant qu’elle était guérie, Dean ne voulait pas prendre le risque qu’elle se scratch en bas de la tour. Il ne survivrait pas sans elle.

-Tu sais quoi, Ruuqo m’as parlé de vacances, je suis allé lui secouer les puces pour qu’il reprenne sa place et il m’a promis que j’aurais plus de temps pour toi et pour Sandhy. Je te cherchais pour te le dire. Es-tu contente ?

Dean était vraiment désolé de l’avoir délaissé, il ne le voulait pas, elle était toute sa vie maintenant, il l’avait épousé, et ce n’était pas pour la laisser toute seule. Il allait lui consacrer tout le temps qu’une femme aussi merveilleuse qu’elle méritait.

- Que veux-tu faire mon amour ? Tu n’as qu’à demander je suis tout à toi.

C’est vrais que depuis sa grossesse, Eila n’était plus une des chefs de la meute, mais en même temps, ce n’était pas plus mal… Dean ne voulait pas la voir prendre des risques inutiles… Déjà, lui en prenait bien assez pour deux, il ne voulait pas la perdre pour des bêtises. Elle était contente qu’il ait des vacances, et el lui montra en l’embrassant avec passion. Il savoura ce baisé en fermant les yeux. Elle voulait s’éloigner du domaine pour quelques jours, pourquoi pas, après tout, Dean était sur que si il restait au domaine, il ne pourrait pas s’empêcher de retourner travailler… C’était plus fort que lui. Un éloignement temporaire serait en effet le mieux pour eux.

-Oui, mais où… Personnellement, je m’en fiche tant que je suis avec les deux femmes de ma vie.

Ils ne pouvaient pas aller trop loin non plus, car prendre le bateau pour aller dans un pays étranger, ça prenait des mois… il faudrait se contenter d’un endroit accessible par la terre, heureusement, il y avait de beaux endroits en France, ils pourraient aller en Italie aussi… C’était jolie l’Italie… Enfin, il faudrait demander à leur cher petit ange où elle désirait aller, après tout, il fallait que ça plaise à tout le monde.

-Tu crois que Sandhy voudra aller où ?

C’est vrais que finalement, leur petit ange était plus un diablotin qu’une perle… Elle avait le don de faire des bêtises et de faire enrager ses parents.

Oui, Dean n’aimait pas trop le sable, mais il se souvenait que leur enfant voulait voir la mer… pourquoi pas après tout… il ne fallait pas être réfractaire à toutes idées non plus, il haussa les épaules.

-Non, le sable je n’aime pas trop ça, mais si vous voulez voir la mer, nous irons voir la mer.

Un coucher de soleil sur la plage avec Eila… ça ne pouvait qu’être magnifique… Dean se ferait rapidement à l’idée, mais la chère femme avait parfaitement raison, il valait mieux en parler avec leur fille, après tout, elle grandissait tellement vite qu’avec son caractère bien trempé, elle pourrait vouloir aller visiter un volcan… ça n’étonnerait qu’à moitié Dean en tout cas.

Et puis, si Ruuqo reprenait son poste de chef comme il l’avait dit, ils pourraient en faire plusieurs des voyages, et peut-être même faire un nouvel enfant… Un garçon cette fois… où une fille, après tout, il prendrait ce qu’il viendrait, mais il se sentait l’âme à la famille nombreuse…

-Que dirais-tu ma chérie d’avoir un nouveau bébé ?

Il voulait quant même avoir son avis… après tout, elle était la première concerné, et même si à l’époque, on ne pouvait pas vraiment choisir, Dean pouvait faire en sorte d’honorer sa magnifique épouse aussi souvent qu’il le pouvait pour avoir un deuxième enfant… Et quoi de mieux qu’un cadre idyllique tel que le bord de mer pour le concevoir ? Dean avait déjà des idées plein la tête, mais Sandhy n’avait pas vraiment sa place au milieu de tout ça…

Dean ne pensait pas une seule seconde qu’Eila pouvait risquer sa vie en enfantant à nouveau. Pour lui, cette histoire c’était fini en même temps que sa maladie. Si il l’avait su, il ne lui aurait jamais demandé… Il ne voulait pas risquer la vie de sa femme pour un enfant alors qu’ils étaient déjà comblé d’en avoir une en magnifique santé. Elle lui répondit qu’elle en serait ravie, mais sa mine disait plutôt l’inverse, bien qu’elle essaye de cacher son trouble et sa surprise.

-Non, en l’occurrence, ce serait un cadeau que toi tu me ferais, car si je le pouvais, je le mettrais au monde moi-même cet enfant pour ne plus que tu ais à subir ça, malheureusement, je ne le peux pas. Seule toi peu me faire la joie d‘être papa à nouveau.

Pour le coup, Dean ne pensait pas un seul instant à Sandhy, après tout, elle ne pouvait qu’être ravie de la perspective d’avoir une petite sœur où un petit frère… pourquoi ne le serait-elle pas ? De toute manière, on ne lui demandait pas son avis, depuis quand les parents demandaient l’autorisation aux enfants pour avoir des bébés ? Dean se laissa embrasser, imaginant déjà un nouveau bébé… Il était fou de sa progéniture… Rien que de l’imaginer, il en rêvait. Un enfant désiré par tous les deux, il pourrait ainsi soutenir sa femme pendant toute la grossesse, pas comme la dernière fois. Il serait là pour elle, pour répondre au moindre de ses caprices… Quel bonheur.

-Moi aussi ma puce, tu es la seule qui fasse briller mes yeux quand j’aperçois ne serais-ce que ton ombre se dessiner près de moi.

Il l’embrassa à son tour amoureusement, passant une main derrière ses cheveux pour caresser sa nuque tandis que l’autre enserrait sa taille pour caresser doucement le bas de son dos.

-Je t’aime, je ne supporterais pas de vivre sans toi, ne me quitte jamais Eila !

Dean l’observait attentivement, il ne disait pas souvent des beaux mots, il était donc ravi qu’elle les apprécie… Ce n’était pas le genre de la maison… pourtant, il l’aimait plus qu’il ne s’aimait lui, normal… Il tenait plus à la vie de sa femme qu’à la sienne. Avec Casca, il n’avait pas pu mourir avec elle, à cause de la vengeance qu’il avait à accomplir, mais avec Eila, il ne pourrait pas vivre sans elle, il en était sur. Oui, elle l’avait promit pour le meilleur et pour le pire, mais il ne voulait pas qu’elle ait un jour à subir le pire, c’est pour ça qu’in était obligé par moment de travailler pour ne pas que les humains où les vampires prennent le dessus et ne les réduisent à néant.

-Je ferais tout pour que nous n’ayons toujours à faire qu’au meilleur, car tu ne mérite pas mieux.

Eila était une femme exceptionnelle, pour le supporter tous les jours, et rien que pour ça, elle méritait le plus beau des mondes. Il ne pourrait jamais assez lui faire de cadeau pour qu’elle soit la plus comblé des femmes. Elle était son bijou, son plus beau diamant.

-Une éternité… si tu me supporte, car j’ais tendance à être insupportable, et je me demande comment tu fais pour encore me supporter.

Dean était tellement méchant, comment avait-il fait pour trouver une femme aussi bien… Il n’en revenait toujours pas lui-même. Il prit la main que sa douce avait posé sur son torse et la porta jusqu’à ses lèvres et y déposa un baisé plein d’amour. Il la sentit alors frissonner et referma ses bras autour d’elle pour la protéger du vent et lui sourit.

-Tu as froid, on ferrais mieux de descendre.

Sachant que Dean était un véritable monstre, il était convaincu que tout bonheur lui était interdit… Tout ce qu’il touchait se transformait en horreur, et parfois, il avait peur que son entourage proche tels qu’Eila et Sandhy ne devienne des monstre à son image, où alors qu’elles lui soient arraché par un coup du sort. Il ne le supporterait pas une deuxième fois… Il ne dirait rien, ne voulant pas lui faire part de ses inquiétudes, après tout, il préférait la laisser faire, et il se mit à frissonner au contact des lèvres de cette femme tant aimé sur son oreille.

-Tu ne peux pas être insupportable, tu es bien trop merveilleuse pour ça.

Il fronça un peu les sourcils… Eila voulait que certaines choses changent ? de quoi parlait-elle ? Elle avait toujours ce qu’elle voulait… Enfin, il se souvenait que lorsqu’il l’avait mise enceinte, elle n’avait pas voulu ça. Il avait violé la femme qu’il aimait. Dean serra les dents l’espace d’une seconde puis lui fit u petit sourire crispé.

-Tu as ce que tu veux ? Mais sais-tu bien toujours ce que tu veux ?

Après tout, il n’oubliait pas qu’il avait du se battre contre cet avorton de Jacob et c’était plutôt Dean qui avait forcé le destin, elle était allé le voir alors qu’ils avaient une fille. Elle était même retournée le voir dans un cabaret… Une maison où des prostitués s’offraient pour une bourse bien pleine… Dean savait, il n’y avait pas grand-chose qui lui échappait, surtout concernant sa famille. Eila l’embrassa doucement et se dirigea vers les escaliers, le laissant vers sa fin… Il la suivit donc comme un bon toutou marchant derrière elle dans les escaliers dans l’attente d’en voir un peu plus que ce baisé, comme si il avait été la promesse de bien plus.

-Attention madame, vous allumez les flammes de mon désir…

Il posa une main sur les fesses de sa femme et se colla à elle dans les escaliers, la serrant contre l’épaisse muraille, sa main cherchant à relever un peu ses jupes.

-Et je ne sais pas si je vais arriver à le contenir en vous voyant ainsi devant moi.

Il avait un sourire en coin, et pendant que sa main relevait toujours rapidement les jupes d’Eila, ses lèvres se posaient sur la peau de sa nuque.

Plus Dean la regardait et plus il était persuadé que jamais Eila ne le quitterais. De toute manière, il ne supporterait pas de la perdre, et si elle partait avec un autre homme, il n’était même pas sur de pouvoir tuer cet autre homme, après tout, tant qu’Eila était heureuse, que ce soit avec lui avec un autre, seul son bonheur importait… Quoique, il préférait largement que sa belle reste avec lui plutôt qu’elle s’échappe. Mais en même temps, si elle l’aimait autant que lui l’aimait, elle n’envisagerait pas de vivre sans lui… Plus ça allait moins il en doutait, après tout, Eila savait dans quoi elle s’engageait en sortant avec lui, en se mariant avec lui. Dean n’avait rien d’un lover, d’un homme au petit soin, d’un grand poète déclamant sa flamme en bas d’un balcon lors de couché de soleil…

-Y’a-t-il des endroits plus convenables que d’autres pour se montrer qu’on s’aime ?

Personnellement, il trouvait ses escaliers humides de château médiéval particulièrement attrayant… Finalement elle se retourna et semblait toute offerte au caresses de son mari qui continuait de relever ses jupes pour ne serais-ce qu’effleurer sa peau magnifiquement douce. Quand elle le repoussa gentiment, il leva un sourcil, semblant hébété par ce qu’elle lui disait… comment ? elle voulait attendre qu’ils soient en vacances ?

Dean se sentait déjà à l’étroit dans son pantalon… Il fit un regard de chien battu, tandis qu’il ne débandait pas pour autant. Il grimaça un peu et déboutonna son pantalon en attrapant la main de sa femme pour lui faire sentir son entre jambe, et à quel point il avait envie d’elle. Il relâcha sa main finalement, mais ne rattacha pas son pantalon, il valait mieux qu’il attende de dégonfler pour se réajuster.

-Si tu le dit… Les vacances c’est quand même pas demain, et ça fait bien trois semaines qu’on ne se voit pas plus qu’une heure par jour…

Autant le dire clairement, Dean était un peu frustré, mais ne voulait pas la brusquer, la forcer, si elle ne le voulait pas, il attendrait qu’elle vienne le chercher. En attendant, il fit demi-tours, préférant remonter pour se prendre quelques bonnes rafales de vent frais qui devrait lui amoindrir ses ardeurs, par ce que là, c’était à la limite d’être douloureux. Il faudrait qu’il dise à son tailleur d’agrandir un peu ses fonds de pantalons, car il avait le sentiment que son pantalon l’oppressait de temps en temps.

Dean était remonté sur le haut de la tour, pour prendre l’air dont il avait besoin quand il entendit sa douce Eila l’appeler. Il se retourna pour la voir arriver, et l’attrapa juste à temps dans ses bras, en l’embrassant aussitôt. Avec l’élan, il se retrouva dos au mur, les paroles de sa femme lui firent froncer les sourcils… Il n’aimait pas trop qu’elle lui dise qu’elle lui appartenait… mais bon… Il oublia bien vite les paroles de sa femme quant il sentit sa main venir caresser son entre jambe. Quelques uns de ses muscles se tendirent, dieu que c’était bon, il fit passer ses mains derrière les dos d’Eila, et recula jusqu’à ce que ça soit elle qui ait le dos au mur, et l’embrassa à nouveau, la collant le plus possible contre lui.

-Oh oui je vais te faire l’amour ma puce.

Il se baissa un peu pour relever ses jupes d’une main, tandis que de l’autre, il délaçait le haut de sa robe. Eila préférait sans doute faire les câlins dans l’intimité de leur chambre, sur un bon lit douillet, mais Dean trouvait ça excitant le fait de pouvoir être surpris par des gens… Et faire ça à la vas vite entre deux portes de temps en temps, ça avait son charme aussi.

Les mouvements de Dean trahissaient qu’il était très excité, tout était très rapide, mais il avait beaucoup de mal à contenir son envie impérieuse de la prendre là, maintenant, comme un sauvage… Pourtant, il ne voulait pas être le seul à y prendre du plaisir, il laissait donc ses mains courir le long du corps de sa femme, arrivant enfin à passer sous ses jupes et à toucher la peau de ses fesses si douce.

-Comme tu as la peau douce, on dirait un morceau de soi… je t’aime, si tu savais à quel point, tu aurais peur.

Elle n’avait pas peur de l’amour de Dean… pourtant, il l’aimait d’un amour passionnel tellement fort, qu’il était capable de tuer pour elle. Il soupira en sentant la robe de sa femme glisser découvrant un peu plus son décolleté qu’il se hâta d’embrasser tendrement. Quand elle monta sa jambe le long de sa hanche après avoir baissé son pantalon, il se serra encore un peu plus contre elle, avant de faire glisser totalement la robe de sa femme au sol pour la retrouver nu contre lui.

Les mains d’Eila se faufilaient sous sa chemise, alors qu’il la déboutonnait pour qu’elle y ait facilement accès. Dean se mit à laisser courir ses mains sur les hanches de sa petite femme avant de lui enlever sa dernière protection, sa petite culotte. Il se pressa à nouveau contre elle, tenant fermement la jambe de sa dame contre son flanc avant de la pénétrer enfin en lâchant un grognement de satisfaction.

Dean alla chercher les lèvres d’Eila, l’embrassant avec fougue et de façon à ce qu’elle sente bien son amour tendit qu’il commençait ses vas et viens en elle. Ses lèvres glissèrent ensuite le long de sa nuque pour finalement aller vers ses seins tandis que son bras libre relevait sa deuxième jambe de façon à ce qu’elle ne touche plus le sol et qu’elle soit ainsi totalement en son pouvoir, il aimait bien gérer le tout.

-Je t’aime aussi ma douce.

Oui, la peau de Dean se tendait sous ses muscles, il lui fit l’amour jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus tous les deux. Ils avaient choisi un endroit pas très confortable pour leurs ébats et Eila avait raison, ils auraient été mieux ailleurs, pourtant, ils avaient tous deux prit leur pied. Il embrassa amoureusement sa femme en la reposant au sol, puis se baissa pour ramasser sa robe pour l’aider à se rhabiller, il y avait du vent ici et il ne fallait pas qu’elle attrape froid.

-Tien ma puce, rhabille toi, il ne faudrait pas que tu attrape la mort.

Surtout si elle contait reprendre le travail, enfin, ils verraient ça après les vacances, car pour Dean, il ne pensait pas vraiment qu’elle puisse vouloir reprendre le travail, il pensait qu’elle était heureuse comme ça, après tout, une femme entretenue n’avait rien à faire, elle devait être contente de pouvoir s’occuper d’elle. Il la prit par les épaules pour la retourner et lui attacher sa robe. Une fois que cela fut fait il lui prit la main pour la tirer dans les escaliers et quitter les murailles et les ruines, ils seraient mieux au château pour parler de leurs vacances avec Sandhy, qu’ici.

-Il faut qu’on parle avec notre petit ange pour voir si nos projets lui conviennent. Est-elle au château, où en vadrouille comme d’habitude ?

Depuis qu’Erwan était partit, elle trainait avec des louveteaux pas très fréquentables, créant un espèce de mini clan… même si je ne disais rien, je le savais. Mais bon, tant qu’elle ne trainait plus avec ce vermisseau, c’était peut être bien qu’il soit partit finalement.