Une arrivée en toute discrétion [Cassandra]

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Thomas était arrivé il y a quelques heures d’Angleterre. Il ressemblait encore à quelques choses. Il portait une chemise finement tissé blanche, et un pantalon de voyage noir. Il était très élégant dans la simplicité de son appareil. Sa suite était composée de personnes de confiances, comme des valets qui le suivaient depuis toujours. Il avait passé une semaine à tanguer dans un bateau, retrouver la terre ferme ne lui déplaisait pas.

Il avait envoyé un de ses valets chercher une chambre. Il devrait se rendre au château un de ses jours, mais pas tout de suite, il voulait profiter du fait d’être comme le commun des mortelles durant quelques jours. Avec quelques uns de ses familiers, il décida de partir à la pèche, comme ils le faisaient quand ils étaient enfant. Sa mère n’avait accepté qu’il ne vienne qu’avec deux de ses amis. Largement assez pour pouvoir reconstituer ici une bande de joyaux fêtards. Alors qu’ils avaient planté les gaules dans un petit ruisseau depuis plusieurs heures déjà, Tom décida de s’éloigner un peu du groupe pour marcher dans les hautes herbes de la forêt. Les chevaux étaient restés avec les deux jeunes hommes. Il ressemblait à une petit noble de campagne aussi simplement vêtue et seul dans un champ ainsi.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Je venais de me rendre dans les alpes seule pour la première fois sans Eric occupé je ne sais dans quelle affaire. Zane était assez intelligent pour savoir que sans Eric je céderai à n'importe quel de ses caprices, c'était mon frangin, et il était trop mignon. Etant sur le départ, il m'avait attrapé dans ses serres et avait pris son envol. Tout le long du trajet je serra mon anneau, même si je savais que la chute n'était pas mortelle, je préférais ne pas y penser. Le bruit de ses ailes fouettant l'air me berçait quelque peu, heureusement que ma veste était solide.

Zane, si Eric l'apprend on est mort tout les deux !

Zane finirait en brochette et moi dans un cachot. Le paysage commença à mettre familier, et la population commençait à être dense donc dangereuse pour mon frère.

Lache moi ici criai je pour couvrir le bruit de ses ailes, cela devient dangereux pour toi !

L'aigle piqua vers le sol et me lacha, ma chute était de 10 mètre, j'attéris sur mon genou, je tourna la tête pour regarder l'aigle s'éloigner,je détourna la tête, me releva, epoussetouffla mes affaires avant de remarquer qu'un homme se trouvait juste en face de moi. Sans être troublé j'attacha mes cheveux qui dégagérent un parfum humain. Je le détailla de mes yeux verts, il était vampire aucun doute la dessus, un rang assez faible jugé par son accoutrement. Ce fut cette pensée qui me rappela que j'étais en pantalon, dans les montagnes c'est préférable, je ne devait pas paraitre princesse sur le moment. Je choisi donc de décliner mon nom qui avait été le mien pendant longtemps.

Cassandra Giovanni pour vous servir, a qui ai je l'honneur ?

Je m'inclina, sans la moindre expression, c'était un inconnu, je n'allais pas lui parler comme si j'étais son amie, d'ailleurs je n'ai pas d'ami.

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Tom avait l’impression d’avoir trop bu… il n’avait pourtant pas bu grand-chose, enfin quelques goutes de vin au repas… rien d’autre. Il dévisagea la jeune femme puis sourit. Il aimait bien ce genre d’entrée. Elle restait naturelle même après avoir fait une chute de 10 mètres porté par un rapace. Il regarda autour de lui, pour voir si un de ses ami avait vu la chose, mais visiblement non. Elle était habillé d’un pantalon, elle avait bien raison, les robes était gênantes pour les femmes. Il se présenterait sous son nom ou son rang le moins titrée, il ne mentait ainsi pas. Il tenait à garder un minimum d’anonymat, surtout perdu dans les environs de nulle part.

-Thomas, comte d’Euston, mais c’est à moi de vous servir gente demoiselle qui tombez du ciel.

Faisait-elle toujours ainsi pour faire de nouvelles rencontres ? Tom avait le regard pétillant, mais son visage ne reflétait rien. Soudain, un mince sourire se dessina sur ses lèvres.

-Vous arrive t-il souvent d’atterrir ainsi dans les prairies ?

La demoiselle avait l’air de bonne famille, au moins, elle parlait convenablement, elle n’était donc pas une fille de ferme peu instruite qui passait ses journée aux champs. Elle était même charmante, peut-être une nouvelle ami de jeu, Thomas se devait de se reconstituer une bande de joyaux lurons, et pourquoi pas y ajouter des femmes ? Après tout, elle avait l’air d’être vaillante.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Tomber du ciel, non, d'habitude il n'a pas le droit, mais j'aime bien faire ce qu'il me plait et lui aussi répondis je mystérieusement

Mes iris virèrent aux gris, la neutralité, je ne savais pas si je devais me méfier de lui ou pas, autant ne pas agresser la personne en face. Ma main quitta la garde de mon épée, qui reposait dans son fourreau à mes cotés.

Comte, et bien, que faites vous ici, dans un coin aussi peu peuplé. N'aimez vous pas la cour ?

Je commença à marcher, je n'aimais pas rester planté à un endoit pendant mille ans, un comte cela me paraissait probable à en juger par son apparation et son langage. J'entendis mon coeur reprendre son battement calme, ma chute avait quelques peu augmenté la pulsion de mon coeur.

Un vampire, et quel age avez vous demandai je curieusement

L'age, c'était une de mes grandes peur, je suis logiquement immortelle, mais je ne connais aucun coeur qui pouvait battre 700 ans. Et si quelqu'un me planté un couteau dans le coeur, resterai je en vie. Sans doute avec mon don de guérison, enfin je ne sais pas. Mais l'age d'un vampire l'impressionnait toujours. Pour ne pas paraitre discourtoise, j'ajouta

J'ai 19 ans, je vous demande car l'age d'un vampire m'impressionne, comment ne pas s'ennuyer à force de vivre ?

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Ils avaient déjà un point commun, ils aimaient tous deux faire ce qu’ils voulaient, bien que tom n’avait pas trop le droit d’agir à sa guise, il n’en faisait qu’à sa tête, au diable son père et ses interdictions. Il fit une petite moue en regardant autour de lui puis écarta les bras pour désigner les alentours.

-Le coin est superbe, ne trouvez vous pas ? Pour ce qui est de la cour, je ais m’y rendre dans les jours à venir, mais je ne suis pas particulièrement pressé. J’arrive tout croit du pays de Galles, je visite pour l’instant.

Il se retourna pour voir si ses deux amis ne les avaient pas vu, il ne voulait pas qu’ils débarquent tout de suite. Ils risquaient de tout gâcher et de dévoiler son identité. Pour une fois qu’on ne le prenait pas avec des pincettes. Il ne retrouvait les gens franc que dans il sortait en douce avec ses amis dans les environs de Londres, mais son père coupait toujours court à ses amusements en lui envoyant des gardes. Comme si il allait se faire assassiner. Il haussa un sourcil à sa question, mais se contenta de sourire. Son âge n’était pas un secret, il était très jeune pour un vampire, ses incartades passaient toujours sur le compte de son âge. De sa jeunesse.

-Ne vous inquiétez pas, mon âge n’est pas un secret. J’ai 224 ans. Pour ce qui est de s’ennuyer… je ne vois pas de quoi vous voulez parler. La vie est pleine de surprise, de rebondissements.

Il se pencha et attrapa une fleur, une marguerite qu’il tendit à la demoiselle en souriant.

-Pour ma part, je ne m’ennuie jamais. Vous vous ennuyez vous ? c’est que vous n’allez pas dans les bons endroits, et que vous ne fréquentez pas les bonnes personnes.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Etrangement, j'éprouvai de la sympathie pour cet individu, des points communs peut être mais aussi des divergeances.

224 ans et vous estimez être jeune, je n'en ai que 19 alors je suis quoi, un nouveau né plaisentai je

Mes iris virèrent au bleu, ils exprimaient la joie. Par contre j'avais l'impression que c'était un bon vivant que la vie avait bien servi, il était heureux, et visiblement adoré s'amuser.

Attendriez vous quelqu'un Monsieur le Comte demandai je en prenant la marquerite

Celle ci n'était pas totallement ouverte, je la regarda et lui donna assez de chaleur pour qu'elle s'épanouisse pleinement.

Merci remerciai je A vrai dire je n'ai pas d'ami fis je un peu froidement, je n'ai pas été accoutumée au contact des gens, je suis une solitaire dans l'ame, et ne compte que sur moi même

Dans les alpes, avec un aigle, ce n'était pas le meilleur moyen de se faire des amis, maintenant elle avait beaucoup de mal a paraitre ou être sociable

Disons que j'ai vécu beaucoup de choses qui font murir un être rapidement, je n'ai pas connu d'enfance ou d'adolescence trop occupée à lutter pour la vie

Ses iris virèrent au bleu gris de nouveau, parler de son passé l'attristait et la mettait en colère contre elle même, sans de vouloir, elle fit évaporé l'eau de la fleur qui fana

Oh je suis désolée murmurai je

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Un nouveau né peut être pas, mais le temps n’allait pas tarder à se figer pour elle aussi. Lui, avait grandi jusqu’à ses 19 ans, puis tout avait arrêté de bouger. Il avait arrêté de vieillir, restant éternellement jeune, dehors comme dedans. Tom se refusait à vieillir. C’était un état d’esprit. La devise du prince était simple. «Si tous, moi pas », soit en latin Si omnes ego non. La vie était trop courte pour la gâcher en courbette inutiles, en réunions et protocoles interminables. Son père en imposait à tous, mais lui s’en fichait royalement, c’était le mot.

-Mais non, vous avez la chance d’avoir toute la vie devant vous, j’espère que vous saurez en profiter.

Il leva un sourcil puis sourit tranquillement.

- Voyez-vous, je ne suis pas seul. Deux de mes camarades sont un peu plus loin, mais j’ai peur qu’ils ne jouent pas dans la finesse si ils nous voient, ou plutôt, si ils vous voient.

Il la regarda faire avec la fleure, écarquillant les yeux comme un enfant devant la beauté de son geste. Elle avait fait s’épanouir la marguerite par le simple fait de la toucher, et ses yeux avaient un instant changé de couleur. Elle n’avait pas d’amis. Ça pouvait très vite changer ça. Elle avait l’air sympa cette demoiselle. Le fait de parler de ses souvenirs lui avait fait ternir le regard et la fleur avec. Il se redressa, son sourire figé sur son visage.

-Ce n’est rien… ce n’est qu’une fleure, il y en a partout dans cette prairie. Je suis sur que vous êtes tout à fait capable de vous amuser malgré toute la dureté de votre vie. Au pire, je vous apprendrais, je suis un professionnel en la matière.

Il se tourna à nouveau vers l’endroit ou se situaient les deux autres jeune hommes puis sourit à la jeune femme. Son teint était blafard.

-Les deux joyeux lurons là bas n’ont rien à m’envier… à nous trois, on fait une fine équipe, croyez moi.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Avec le temps peut être que ma tristesse s'estompera mais pas ma colère

Je me concentra, et mon esprit partit à la recherche de l'eau dans l'organisme de la fleur, j y décéla une infime parcelle d'eau, je multiplia les atomes afin de cloner l'eau en quantité assez suffisante pour la remettre aussi belle qu'avant. C'est un peu moi, avec le temps je deviendrai sans soute quelqu'un d'épanouie mais il me faudra bien plus que multiplier l'eau de mon corps

En me voyant répétai je pensivement, et pourquoi, n'ont ils jamais de femme durant leur longue vie ou pensez vous que je ne ferai pas le poids contre vos deux amis ?

Une lueur d'amusement vint trouble mon regard bleu gris, les vampires, j' en avais mis pas mal au tapis d'autre pas j'avais un sens de la répartie très developpée. Il ne fallait pas trop me chercher. M'apprendre à vivre...

Pourquoi pas, mais je pense que vous avez choisi l'élève la plus difficile Monsieur le Comte, mais je suis bien tenté, après tout je peux peut être espéré connaitre un peu de bonheur malgré mon geste

Tuer ma mère, comment pourrais je être heureuse dans ma vie immortelle, oté la vie de la personne qui m'a donné la mienne...

Vos amis occupent ils une position elevé à la cour. Dites le moi, pour ne pas que je paraisse trop ignorante, si je les vois

On sait jamais, j' avais comment rencontré des gens à la Cour de Versaille depuis mon installation il y a deux ans.

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Ses amis n’étaient pas du genre à se battre ou à chercher de noises en dehors d’avec des ivrognes de tavernes. Bien qu’ils se soient connus sur un champ de bataille, ils n’étaient pas du genre à attaquer les gens pour leur simple plaisir. Il lui sourit d’un air rassurant.

-Oh si, ils ont vue pas mal de femmes dans leur vie, mais comment dire… ils ne jouent pas toujours dans la finesse, bien qu’ils soient inoffensivement gentils.

Oui, il venait d’inventer un mot, mais cela l’amusait. Cassandra avait su remettre de la vie dans la fleur fanée. Elle était impressionnante. Pour ce qui était de l’élève la plus difficile, il n’en était pas sur. Il ne comprenait pas bien pourquoi elle disait malgré son geste. Mais cela ne le regardait pas. Tom ne s’amusait pas a lire ou sonder les pensés des autres quand cela ne le concernait pas directement.

-Je ne sais pas si vous serez une élève difficile, mais il n’y a pas beaucoup de difficulté à s’amuser, il suffit juste de se laisser aller. Pour ce qui est de mes amis, il y a le duc de Cornouaille, et le duc de Newcastle. Comme vous le constatez, je suis bien entouré.

Oui, il n’aait pas spécifié qu’en plus de comte d’Euston il était duc de Richmond et prince de Galles. Après tout, garder l’anonymat n’avait rien de bien étonnant. Par contre, il se demandait pourquoi elle posait toutes ces questions sur la cour.

-Rassurez vous pour mes amis, ils ont l’habitude de côtoyer d’autres personne que tout les enrubannées de la cour. Ils ne s’offusqueront pas d’une quelconque ignorance de votre part.

Ils ne tarderaient d’ailleurs pas à arriver. Il espérait qu’ils ne seraient pas trop grivois. Tom avait l’habitude d’attirer les filles sans rien faire, et pour une fois qu’une demoiselle ne lui sautait pas au cou, il ne voulait pas qu’ils la chambrent.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Inoffensivement gentils dis je amusée, du moment qui non son pas offensivement méchant, je pense que je pourrai faire un effort, et puis je ne veux pas vous mettre dans une situation inconfortable aux yeux de vos amis

C'était la dernière des choses que je voulais, je pouvais paraitre bizarre aux yeux des gens je m'en moquais éperduemment mais que Tom fasse l'objet de moquerie, cela me préoccupait, autant faire bonne figure. L'amusement sans doute était facile quand on avait la conscience tranquille et légère comme le vent, mais moi, elle était encore plus lourde que le plomb

Et pensez vous qu'avoir un meurtre sur la conscience ne rend pas l'amusement difficile à trouver ?

Je leva les yeux, les molécules d'eau commençaient à s'amoncelaient dans les nuages d'ici une demie heure il y aurai un déluge. Je pouvais l'arrêter mais c'était la nature, et l'écosystème avait beoin d'eau

A votre place, je me haterai de dire à vos amis de trouver un abri, il va pleuvoir, c'est mon petit doigt qui me le dit l'informai je, et je ne suis pas sure que votre chemise appréciera. Je vous le dis, parce que je peux vous évitée de passer chez le teinturier plaisentai je

Enrubannées la cour, c'est vrai mais moi, je préférai ce qui était modeste et raffiné que luxeux et pesant.

Les rubans sont donc à la mode à la cour me renseignai je moqueuse

J'imaginais les nobles remplis de ruban voler comme des cerf volant, ou accrochés dans des arbres.

King legitim of France Messages : 369 Date d'inscription : 02/06/2009 Age : 36

Une situation inconfortable ? Aucun risque, ses amies savaient en un regard quand ils ne devaient pas plaisanter, même si la plupart du temps ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient et dire ce qu’ils pensaient.

-Rassurez vous, ils ne s’en prendront pas à moi.

Quand elle parla de meurtre, son visage s’illumina. Elle avait donc tuer quelqu’un ? il ne se doutait pas qu’elle parlait de sa mère mort en couche, car ce n’était en aucun cas un meurtre à ce niveau là.

-Rassurez vous belle demoiselle, vous êtes avec nous, entouré de meurtriers. Nous ne vous jugerons pas. Nous nous sommes connus à la guerre.

Quand elle parla du temps, il observa le ciel d’un œil amusé. Son pouvoir avait un rapport avec le temps, ou les éléments, il ne fallait pas être un génie pour s’en apercevoir. Vu comment elle avait joué avec la fleur. Il mit ses deux index dans la bouche et siffla un grand coup. Un hennissement se fit entendre, puis deux autres voix masculines qui rigolaient. Ils rejoignirent les deux jeune gens en rigolant. Ils étaient déjà à cheval, les gaules liés sur le coin d’une selle. Ils tenaient par la bride un bel étalon espagnol gris pommelé et se mirent à plaisanter.

-Et ben beau prince ? Même au milieu de nulle part tu réussi à te dégoter une dulcinée ?

Beau prince ben tien… au moins, ça pouvait passer pour un surnom, et vu comme ils lui parlaient il n’y avait pas trop de risque pour qu’elle pense qu’il en était véritablement un… sinon, ses deux compagnons lui auraient montré un peu plus d’égards.

-D’après la milady, il va pleuvoir des chiens et des chats.

Expression typiquement anglaise qui une fois traduite ne donne pas si bien XD.

-Pour ce qui est des rubans… je ne sais pas s’ils sont à la mode à Versailles, mais pour ce qui est de la cour Anglaise, ils sont de rigueurs.

Il trouvait qu’elle parlait beaucoup de la cour pour une demoiselle en balade. Y avait-elle quelques liens ? Il attrapa les rennes que lui tendait le duc de Cornouaille et demanda d’un air amusé et un peu curieux.

-Nous nous rendons de ce pas au village de Versailles. Voulez vous vous joindre à nous ? car si ma chemise est menacé de teinturerie, il en est de même de vos effets.

Messages : 171 Date d'inscription : 05/06/2009

Une dulcinée, je ne vois point de dulcinée par ici me moquai je

Je leur aurai éclaté les doigts, mais je ne fis rien, c'étaient des amis du Comte, je n'allais pas les mettre mal à l'aise, je me concentra un peu, pour faire pleuvoir juste sur leurs têtes

Il y a un micro climat ici plaisentai je, vous n'avez pas de chance messieurs. Ah, je me présente Cassandra Giovanni, j'ai rencontré votre ami par hasard dans les prairies, vous feriez mieux de prendre un peu plus soin de lui, il pourrait ce perdre

Aller avec eux, au village, mais je n'habitais pas au village moi, mais au chateau de Versaille, je réfléchis, leur dire que j'habitais un village pommé, non, je vais me pas me faire passer pour une servante, vu que j'ai posé des questions sur la cour pour feindre mon ignorance. Que devais je faire...

Je n'ai jamais fait la guerre, enfin, il va pleuvoir, trève de bavardage, vous allez être trempé, enfin un peu plus trempé pour vous deux remarquai je un sourire aux lèvres.

Je caressa la monture du Comte pensivement, que devais je raconter...

Je n'habite pas ici, j'habite dans les alpes, mon compagnon de jeu adore se promener donc j'ai attéri ici, je vais y retourné, j'ai ma famille qui m'attend...

De la famille, mes iris devenirent de nouveau bleu gris, je retira préciptamment ma main de la monture. Je n'avais pas de famille...

Au plaisir de vous revoir un jour messieur. Merci pour la marguerite

Je fis une révérence gracieuse avant de partir et de disparaitre dans un brouillard, que j'avais crée pour ne pas qu'ils suivent mes pas

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