Une sortie matinale.....une remise des pendules a l'heure [LIBRE]

Ce matin là, j’étais sortit avec Mathias dans les jardins. Le pauvre n’avait pas osé ouvrir la bouche de peur que je ne mette vraiment en colère. Et j’avais des raisons de le faire !
La veille au soir, nous étions sortit avec Ruuqo laissant Mathias avec la louve chargé de le gardé en mon absence. C’était une soirée merveilleuse passé avec mon chéri, qui étaient plutôt rares il faut le dire. Habituellement, quand il venait me rejoindre dans le lit conjugal, il était déjà très tard et je m’étais déjà endormie. Mais ce soir là avait été bien différents. On était sortit en amoureux ! je ne m’était absolument pas douté de ce qu’il s’était passé en notre absence. Il est vrai que Mathias aimait faire tourner chèvre tout son petit monde, mais ‘avait espéré qu’il soit sage pour une fois ! cet enfant allait me rendre folle un jour xD
Mais en rentrant, j’avais eu, nous avions eu la mauvaise surprise d’apprendre qu’un malheureux incident c’était passé en notre absence. Une vampire l’avait approché, et apparemment tenté de le convaincre de partir avec elle. En d’autre termes, cette chose avait voulut enlever mn fils. Et tout ça parce qu’il avait échappé a la vigilance de sa nounou. J’étais très mais alors très en colère. Il n’avait pas à fausser compagnie à une personne chargée de sa sécurité et me faire des frayeurs pareilles ! Les rebelles n’attendaient que cela ! Une occasion d’enlever mon fils pour faire chanter Ruuqo. Je ne savais pas encore que c’était la femme de Jacob, Rosalie qui s’était fait attrapé ici.

Je marchais donc dans les jardins, mon fils a coté de moi, qui baissait la tête prêt à subir l’orage. Je lui jetais un coup d’œil et soupira. Je n’aimais pas être sévère avec lui, mais quand je n’avais pas le choix, je me forçais à l’être !

Tu n’as rien à me dire Mathias ?

Mon fils me regarda, puis regarda devant lui, n'osant pas soutenir mon regard.

Je ne vois pas de quoi tu parle....
Il ne s’est rien passé hier soir en notre absence ?
Ah...Ça...
Oui ça ! Je t’ai pourtant expliqué l’importance de rester en présence de personne chargé de te surveiller non ?
Oui mais...
Mais quoi ?
J'aime pas etre tout le temps surveiller! Je préfere etre avec Tonton dean! Et cette Louve m'avait interdit de sortir dans les jardins!
Et elle avait raison Mathias!

Je m’arrêtais et regarda mon fils durement. Un peu trop peut être. Son petit regard de chien battu me fit complètement fondre. Je l’attirais vers un banc non loin de la et m’assit, le mettant devant moi, le prenant par les bras, mais avec une extrême douceur.

Mathias.....il faut que tu arrête de semer a chaque fois les louves chargé de ta surveillance en mon absence...je sais que ça peut être très drôle pour toi mais des incidents du type de celui d’hier peuvent arriver ! Si cette femme t’avait emmené, nous serions très malheureux ton père et moi...et les rebelles peuvent te faire du mal tu comprends mon ange ? Si Dean ne t’avait pas retrouver qui sait ce qu’il serait arrivé....

Oui maman !

Il était tout penaud le pauvre. Je le fis asseoir près de moi et le prit dans mes bras. Je lui caressais doucement ses cheveux. J’aimais profondément mon fils et je serais vraiment inconsolable s’il venait à être en danger ou pire, tué. Je ne voulais pas être collante ave lui, il fallait qu’il puisse bouger quand même, mais je tenais a ce qu’il respecte certaines règles.

Je t’aime mon ange...Promet moi d’être sage à l’ avenir et de ne plus jamais le refaire !

Je te le promets !

Il y eut 20 secondes de silence, puis il reprit la parole d’une petite voix.

Tu crois que papa est très en colère contre moi ?

Je souriait a cette idée. Il allait avoir un bon savon de son père c’était certains.

Oh oui mon ange ! Mais c’est parce qu’il t’aime et qu’il ne veut pas te perdre !

Pour détendre l’atmosphère, je me mis à le chatouiller. Je savais qu’il craignait ça, j’étais pareille. Il riait de bon cœur, se tortillant pour m’échapper. Il réussit quand même à m’échapper, se leva et attrapa son ballon et se mit à jouer avec. Je restais sur mon banc, à admirer les beautés de ces jardins, tout en gardant un œil sur mon fils.

Le climat en France laissait à désire, et pour le moment je n’avais pas grand-chose à faire, je détestais être inactive, ne rien faire était une façon détestable de vivre. Je passais les plus claire dans mes appartements. L’appartement était assez grand, j’avais poussé meuble et chaise pour faire le vide avant de m’entrainer. Je regrettais néanmoins l’absence de cible vivante, entendre leur cris à chaque fois que la lame pénétrait leur chair fraiche pour laisser couler le précieux liquide rouge si convoitée, sa chaleur qui coule le long de la gorge et qui se déverse dans le corps, source d’ivresse. Je m’en délectais, et que dire des bains de sang...un délice.

Ce matin je me levais et commençais la séance de méditation, depuis plus de 1000, je pratiquais la méditation et le bouddhisme. Les mauvaises langues diront que c’est étrange pour une tortionnaire de ma trempe, néanmoins les fondements des arts martiaux étaient basés sur les principes bouddhiste et la méditation, pour permettre de sentir l’énergie. Je m’assis parterre avant de fermer les yeux. Le monde est énergie, l’énergie est indispensable à toute action. Contrôler cette énergie par son esprit…Paradis, enfer, succès, échec, tout n’est que le produit de l’esprit. Ce qui est perceptible n’est pas la réalité.

Après ce temps de méditation, je me levais et pris mon épée avant de la sortir délicatement de son fourreau. Le son métallique de celle-ci aiguisa mes sens. Je me plaçais au centre avant de faire un salto avant de commencer à tournoyer dans tous les sens en faisant des mouvements d’épée précis, gracieux et mortels, je me baissais, me relevais, comme si je combattais des ennemis invisibles. La lame sifflait en fendant l’air. Adapter son souffle à celui de l’ennemi, quand ceux-ci seront en harmonie alors on sera sa prochaine attaque. Je pris de l’élan, posais mon pied sur le mur avant d’exécuter un salto arrière et d’enchainer les coups de pieds et recommençais mon étrange chorégraphie.

Je m’arrêtais avant de regarder le soleil, deux heures étaient passées, j’empoignais le fourreau et remis mon épée dedans avant de la ranger soigneusement dans son coffre, le plaça dans mon placard et fermais le tout. Après avoir choisie les vêtements que j’allais porter pour sortir, car mon pantalon n’allait guère avec tous ses froufrous et dentelles que l’on pouvait apercevoir dans les allées de Versailles. La toile de Jouy devrait faire l’affaire. Vert émeraude, il comprend un vrai laçage dans le dos dont les œillets ont été cachés. Deux petits laçages décorent le devant. Je laissais les épaulettes tomber Les faux laçages sur le devant décoraient l'ensemble, quand au laçage du dos, il passait inaperçu, car les œillets sont cachés. La jupe d'une ampleur ordinaire est soutenue par un jupon à cerceaux. Par dessus des épaisseurs de tulle et un beau coton bordé, du tissu à motif est relevé par des petits rubans assortis.

Après avoir trouvé un endroit paisible, mon repos fut troublé par une mère qui réprimandé sans grande autorité son enfant. J’avais eu un enfant, dès qu’il me voyait il tremblait de peur, il savait très bien que j’étais capable de le tuer comme j’avais tué mon propre frère. Je l’avais fait assister à des séance de torture pour lui faire comprendre qu’est ce qui pouvait lui arriver s’il osait me désobéir. La façon dont s y prenait cette mère me laissa pensive, son fils l’a mené par le bout du nez. Mathias, le fils de Ruugo…donc la femme devait être Shalimar. Je restais cependant dans mon coin jusqu’à ce que le ballon du morveux heurte mon pied. Il voulait mourir ! Je lui aurais tordu le bras, mais je m’abstient il était prince après tout.

-Pouvez vous dire à votre fils de faire attention dis je de ma voix cristalline en laissant échapper un rire léger.

Je tendis le ballon au môme, un léger sourire aux lèvres, bienveillante, il faut savoir tisser son réseau. Et ces deux personnages me paraissaient intéressants.

Tout en surveillant mon fils, j’admirais les beautés des jardins. Un travail remarquable avait été effectué, les jardiniers étaient des magiciens ! La seule fois ou j’avais voulue faire pousser des plantes, elles étaient toutes mortes ! Je m’en souviens encore, nous habitions encore comme des parias dans la foret noire. J’avais aménagé un petit coin de jardin mais j’avais très vite abandonné l’idée ! J’étais vraiment mauvaise pour m’occuper de plantes !
Je regardais mon fils jouer et eut un sourire tendre. S’il n’était pas la, je ne sais pas ce que je deviendrais ! Il faisait partie de moi, et je ne supporterais pas qu’il lui arrive quoi que ce soit ! C’’est pourquoi j’étais très protectrice envers lui, et à l’ avenir, j’éviterais les escapades avec Ruuqo. Je devais me consacrer entièrement à mon petit. Comme Dean aimait à le dire, cet enfant était une vraie savonnette ! Toujours à échapper a la vigilance des personnes chargés de s’occuper de lui. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir, j’étais pareille a son âge ! Il fallait bien qu’il vive et profite de sa jeunesse ! Il aurait bien tout le temps de voir par la suite quand il sera grand les horreurs que ce monde offrait ! Moi mère poule ? Oui peut être je l’avoue !

Je sentis l’odeur d’un vampire...d’une vampire plus précisément ! Ce qui ne me plut pas d’ailleurs. Les vampires avaient beau être nos alliés pour la plupart, je ne leur offrais qu’une confiance très limité, notamment à ceux que je ne connaissais pas ! Mais après tout j’avais de bonne raisons ! Mon fils avaient faillit être enlevé par un vampire, qui n’était certes pas un de nos alliés mais maintenant, qui était vraiment de notre coté et qui ne l’était pas ?
Parano moi ? Oui beaucoup même.
Mathias eu le malheur de jouer un peu trop près d’elle et heurta son pied de son ballon. Je n’aimais pas beaucoup l’éclair que je vis passer dans les yeux de cette sangsue. Si elle levait la main sur lui de toute façon j’aurais réagit rapidement et l’aurait éloigné de mon fils dans un premier temps...pour lui faire passer l’envie de frapper en enfant ensuite ! Mais elle ne fit rien a part rendre le ballon au petit et me dire de conseiller a Mathias de faire un peu plus attention avant de rire. Elle n’était peut être pas mauvaise après tout, mais je me méfiais quand même.

Mathias Vien ici mon ange !

Mon fils se posta près de moi et nous regarda tour à tour. Il ne devait pas comprendre pourquoi je me méfiais autant mais c’était moi l’adulte et c’était a moi de le protéger !
Je regardais la vampire et me détendit un peu. Rien dans son attitude ne représentait un danger pour Mathias.

J’y penserais....Je peux savoir qui vous êtes si ce n’est pas indiscret ?

Elle était nouvelle, sans aucun doute, je en l'avait jamais vue ici auparavent. Bon d'accord on ne pouvait pas connaitre tout le monde a Versailles, c'était trop grand, et il y avait tellement de monde qui allaient et venaient. Mais son visage ne me disait absolument rien!

Je suis le nouveau Lieutenant général de police dis je un sourire sur les lèvres

Pendant les heures qui avaient suivi mon entretien avec Monsieur le Premier Ministre qui se la raconte grave, j’avais effectué quelques recherches, pour savoir l’étendu de mes pouvoirs, et à vrai dire, ce métier me plaisait, c’était un des postes les plus élevés crée par les loups à leur arrivée au povoir, les lieutenants généraux de police n'ont aucune garantie statutaire, n'existent que par la seule volonté royale, sont nommés et révoqués discrétionnairement , il a le titre de Ministre de Paris et son poste comporte un grand nombre de compétence, contrôler le port d'armes prohibées par les ordonnances, surveiller les « assemblées illicites, tumultes, séditions et désordres », un pouvoir judiciaire statuer seul et sommairement sur les flagrants délits et entrer en voie de condamnation. Au-delà de ces missions relatives à la tranquillité et à la sécurité publique, le lieutenant intervient dans l'économie de la ville, le transport et le stockage des vivres et du foin, la fixation du prix des Il règlemente les corporations, notamment quant aux brevets d'apprentissage et à la réception des maîtres et assure le respect de leurs statuts et règlements (police des arts et métiers). Les chirurgiens doivent lui déclarer les noms et qualités de tous les blessés qui font l'objet de leurs soins (police de la santé mais aussi de la sécurité publique, le lieutenant prenant ainsi connaissance de nombreux crimes et délits contre les personnes).
En bref un véritable justicier de l’arbitraire, n’est ce pas paradoxal ? Enfin cela me plaisait bien, et je bénéficiais donc de très grandes prérogatives. Rien qu’à l’idée de tous ce que je pouvais faire subir à la populace, ma joie explosa dans mon cœur, en plus je pouvais pratique la torture comme bon me semble, a commencer par un certain Jacob, premier cobaye, je devais faire de mon mieux, afin d’assoir ma réputation sanglante de tortionnaire dans le monde underground.
J’observais le comportement de Shalimar vis-à-vis de son fils, visiblement il n y avait pas plus précieux que lui à ses yeux, c’était très intéressent, et je compris rapidement pourquoi cette Rosalie avait tenté de le tuer, sans son fils, la femme aurait été anéanti, une perspective plaisante pour les adversaires.
Personnellement, j’étais neutre, je n’avais que faire de leur querelle, j’étais payée par Dean hélas pour moi, donc je travaillais pour eux, mais si l’autre camps m’offrait mieux, je risque de retourner ma veste comme je l’avais fais pour le Roi d’Espagne. Enfin sans trône, le jeune Thomas ne pouvait pas ouvrir grand-chose a part des faux espoirs et des rêves. Je préférais le concret et le contact de l’argent plutôt que d’essayer d’effleurer des rêves.
D’ailleurs en parlant de rêve, je regardais de nouveau la jeune femme, aimait elle réellement le nouveau Roi…la réciproque était elle vrai ? Cette question piqua ma curiosité, une petite enquête me semblait intéressante. Il faut toujours avoir des cartes dans sa manche.

Je m’appelle Lei, je reviens d’un voyage au fin fond de l’Empire Ottoman, cela fait longtemps que je n’ai pas mis mes pieds en France, depuis le règne de Philippe le Bel en y réfléchissant bien…Puis je savoir le nom de la maman de Mathias dis je avec une voix mélodieuse

Oui, il y a en moi, un milliers de facette, mon jeu d’actrice est très étoffé, je peux être froide avec des gens comme cet orgueilleux Dean, douce et joyeuse avec des femmes fragiles comme Shalimar, l’art de la manipulation est un camouflage de sentiment, et j’adore ce jeu. J’étais quelques peu pressée de connaitre l’issue de cette conversation, quelle masque devrais je arborer pour la jeune femme ? Confidente, ennemie ? Je regardais ma peau de briller de mille feux avec les rayons du soleil, les éclaboussures de sang m’allaient beaucoup mieux…Enfin…

Enfin je peux associée un visage à votre nom lui dis je en lui adressant un sourire, je viens d’arriver à la Cour de Versailles depuis peu, et sans vouloir vous flatter votre nom m’est parvenu à maintes reprises.

Bien sûr que je savais à quoi elle ressemblait, je connaissais un peu près tous les occupants de Versailles, sinon comment vérifier qu’il n y a pas des personnes en trop. Penser que Versailles est assez grand pour pouvoir y rentrer sans crainte, c’était à la belle époque. J’allais sérieusement veiller à ce que chacun reste chez soi, et mater toute tentative de rébellion. Et puis après si j’en avais marre, et bien je plierais bagage pour un meilleur horizon sans aucune hésitation, si une proposition plus intéressante me parvenait. Parce que sincèrement, je n’avais pas fait beaucoup de rencontre qui valait la peine de rester en France pays pluvieux et gris, la Chine me manquait un peu…

Enfin, le mieux était que la mémoire d’homme oublie mon visage avant d y retourner, sinon c’était moins marrant, j’étais friande des surprises et adorais les nouveaux challenges. Je serais bien restée en Grèce mais j’aimais le changement, et évitais la routine. Il n y avait pas pire ennemi que la routine, s’enfoncer dans des habitudes ne faisait qu’affaiblir sa vigilance.

Je posais mon regard sur l’enfant, tout en essayant de m’imaginait à quoi pouvait bien ressembler le paternel. A vrai dire je ne l’avais pas rencontré, et je n’avais pas non plus eu l’opportunité de le croisé. Était-il en train de batifoler dans le dos de sa femme après lui avoir collé un gamin sur le dos ? Pour un chef de file ce n’était absolument pas étonnant. Mais si j’étais sa femme, je lui ferais clairement comprendre que d’aller voir ailleurs risquait fortement de lui raccourcir l’avis. Enfin moi je l’aurais renforcé pour prendre le pouvoir. Mais à en juger par le comportement de Shalimar, le fait de l’imaginer à la tête du pays me fis bien rire, se serait donné le pouvoir à un marmot capricieux qui mène sa mère par le bout du nez. Si cela arrivé, je préférais démissionnée plutôt que d’aller trop à l’échec. Je détestais perdre, à vrai dire le verbe « perdre » était exclue de mon vocabulaire, depuis que j’étais née.

Bon ce n’était pas que la compagnie de la charmante demoiselle m’ennuyait mais un lieutenant de police avait autre chose à faire que faire la papote même avec la femme de son patron. Surtout que je ne voyais aucune utilité de prolonger cette échange, car elle m’avait l’air très peu au courant de ce qui se passait autour d’elle à part son fils. En plus Dean m’avait fait savoir que je devais exécuter mon premier vrai boulot dans les plus brefs délais. J’avais hâte de rencontrer un ennemi du Premier Ministre de pacotille, valait il mieux que lui ?

J’avais reçu des informations sur le cobaye un peu plutôt, et la soif de vengeance de ce pauvre Dean qui avait perdu femme et enfant m’avais presque donné la larmichette. C’était tellement triste, mais c’était la vie, la prochaine fois, il ferait peut être un peu plus attention en essayant de faire fonctionner ce qui avait dans la tête enseveli sous la poussière des années.

Je dois y aller. Du travail m’attend, et je n’aimerais pas savoir que les deniers du peuple soient gaspillés par ma fainéantise. Il travail tellement dur…Je me dois d’être efficace et leur assurer la sécurité la plus totale.

Je m’inclinais rapidement en lui adressant un sourire et un clin d’œil amusé à Mathias

La prochaine fois que nous, nous reverrons j’espère que tu auras gagné en habilité dans le jeu du ballon, sinon je te donnerais une leçon lui dis je en riant.

Une leçon d’apprentissage ou une leçon de correction, j’aimais les jeux de mots, laisser planer le mystère. Après un dernier au revoir, je me dirigeais vers les écuries afin de trouver monture à ma personne et commencer mon travail à la Bastille.